Ennia Favret, Aníbal Leserre et Guillermo Belaga. Coordination: Marisa Morao Suite à "L'événement Sorano", une nouvelle soirée à été proposée dans le cadre des Soirées de l'Ecole de l'EOL. Jacques-Alain Miller, nous a invité lors de son intervention au Théâtre Sorano a donner une autre direction à l'enseignement de Lacan. Les invités à cette soirée ont démarré un travail de réflexion pour ainsi "synchroniser" le tout dernier Lacan à la lumière de la passe. Ennia Favret, AME de l'EOL et de l'AMP, a soulignée que: "La passe du parlêtre, la différence entre l'inconscient réel et l'inconscient transférentiel et la fin de l'analyse comme satisfaction, orientent la question de la passe actuellement". Un enseignement qui souligne la singularité de chaque parcours. Cette hypothèse vienne accompagnée d'autres: la désidéalisation de la passe et la mobilisation pour une politique de la psychanalyse qui va de pair avec le désir de passe. Aníbal Leserre, ex AE et AME de l'EOL et de l'AMP, pour sa part à précisé: "Je me permet d'éclairer les rudiments que je vais exposer avec une optique une peu différente que le titre proposé pour cette soirée, je propose d'inverser la formulation ainsi: la passe, quelques lumières et quelques zones d'ombre avec le tout dernier Lacan" et, enfin, Guillermo Belaga, ex AE et AME de l'EOL y de l'AMP a souligné: "Le cours de Jacques-Alain Miller m'a conduit à une relecture de la passe du point de vue du rapport avec la psychanalyse: la passe bis comme une mise en relation de l'inconscient réel et de la cause analytique". Marisa Morao est membre de l'EOL et de l'AMP. Elle est l'actuelle secrétaire des Cartels de l'EOL.